La
rencontre tenue ce 05 avril 2016 à l'hôtel Djeuga palace de Yaoundé
permettait de faire le point sur l’état d’avancement du
projet , comme le confirme Thimoté.Fomete de Rainbow Environment
Consult,organisation de mise en œuvre du projet “ cette
rencontre visait à examiner la proposition de guide methologique
élaborée il y a quelques temps mais aussi de faire la selection des
sites pilotes d'experimentation de cette methodologie”
Au delà de la rencontre qui a
connu la participation de toutes les administrations clés, des élus
du peuples, des autorités traditionnelles, des répresentants de la
societé civile, des organismes de recherche et du secteur privé,
il était question pour les parties prenantes de donner à l'unité
de coordination, le quitus pour dérouler son programme de travail.
Le dit programme se decline à travers l'élaboration prochaine des
termes de references, élément fondamentale pour la mise en marche
du processus. Pour le faire, Il faudra prendre en compte plusieurs
facteurs parmi lesquelles la couverture des zones agro écologique
et des thématiques referantes pour une action efficicente dans le
processus de cartographie.
Plus
clairement il faudra concilier les exigences du niveau locale avec
les politiques nationales en cours ceci à travers des schema
regionaux d'amenagement du territoire . La vision ici etant de
“decliner
à terme un plan d'affectation des terres prenant en compte les
usages des communautés cette approche permettra de faciliter le
dialogue entre les parties prenantes” affirme Thimoté.Fomete
. Mieux encore, elle offre l'opportunité d'harmoniser une approche
devant faciliter l'amenagement du territoire il importe que “
l'état
dans la mise en œuvre des projets de developpement connaisse les
terres qui peuvent etre affecté à l'exploitation sans soucis, que
cela de ne se fasse plus au pif permettra d'eviter des conflits”
soutien le representant de l'institut de national cartographie
Dans sa mise en œuvre le projet
va s’appuyer sur la richesse des expériences existantes dans ce
domaine au Cameroun, pour proposer un modèle unique, éprouvé par
des tests dans divers sites, et accepté par tous les acteurs. L’État
suivra le processus de bout en bout, en étant impliqué à la fois
au niveau technique et au niveau stratégique. A terme c'est
l'amelioration de la gestion des espaces et des ressources qui est
visé.
Aucun commentaire